Si aujourd’hui, les constructions récentes n’ont pas de problèmes de remontées capillaires, les propriétaires d’anciennes bâtisses connaissent très souvent ces désagréments. Des travaux d’assainissement, parfois lourds, sont alors à prévoir.
Toutefois, il existe un appareil qui peut régler le problème sans recourir à des travaux de réfection long et coûteux.
Mais en premier lieu, revenons sur les causes de remontées capillaires dans une maison.
Comment l’humidité remonte le long des murs
Il s’agit de l’humidité contenue dans le sol qui imprègne les murs des maisons sujettes à cette problématique. Ces remontées capillaires apparaissent plutôt dans les maisons bâties avant les années 60. Après, les normes de construction ont heureusement changé pour éviter ce type de problème.
L es veines souterraines sont responsables de cette humidité. L’eau peut alors remonter sur les murs jusqu’à une hauteur de 1 mètre 50 sous l’impulsion d’un phénomène électromagnétique.
Les effets restent bien identifiés. Tout d’abord, le papier peint se décolle ou la peinture s’écaille. Puis c’est le plâtre qui s’effrite jusqu’à voir les parpaings.
Bien évidemment, ces effets de remontées capillaires ne se constatent pas en été, saison où le degré d’humidité reste le moins élevé.
Pour éviter des travaux importants et surtout coûteux, un ingénieux système peut venir à bout de ces remontées capillaires.
Le boitier IPE
Ce traitement contre les remontées capillaires consiste en un boitier nommé IPE pour « Inverseur de Polarité Électromagnétique ». Le prix de ce boitier débute aux alentours des 2000 €. Son efficacité a été démontré par plus de 10 000 installations rien qu’en France.
Avant de faire poser cette solution de traitement contre les remontées capillaires, il convient de faire un diagnostic précis afin de tirer le meilleur parti du boitier IPE.
Une dernière chose.
Inutile de contacter votre assurance habitation pour faire prendre en charge le coût de ce traitement. Les compagnies d’assurance ne prennent pas en compte ce qu’elles nomment un « problème d’humidité structurel ».